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Galerie virtuelle
Avers : LVD . XV . D . G . FR . ET . NAV . REX
Buste à l'antique à droite
Revers : RECH PFE MICHAEL LEICHKAUF
Michael Leichkauf Rech Pfenning
Notes : Jeton de compte de Nuremberg
Double L entrelacés et couronnés, accompagnés de trois lis
Leykauff, Michael - 1724 - dernier jeton connu en 1786
Dans l'antiquité, il y avait déjà quelques outils de calcul dont
le plus important : l'Abacus (le boulier compteur).
I l s'agissait d'une grille où chaque ligne représentait les
valeurs décimales croissantes. Sur cette grille, on étalait des petites pierres (latin calculus) pour afficher les valeurs.
Plus tard, ces pierres furent remplacées par des rondelles métalliques. Le jeton de compte voyait le jour.
Les jetons de compte étaient le plus souvent de cuivre ou de laiton. Occasionnellement des Maîtres monétaires en produisaient. Les plus connus viennent des ateliers de Nuremberg.
La demande était grande et le gros de la production était
vendu aux foires et aux commerçants de nombreux pays.
Leur gravure était souvent inspirée des motifs de monnaies
de métal précieux. Plus tard on les décora également de
scènes mythologiques ou religieuses.
Collection : Monnaies et Jetons Royaux