Domico
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Descrizione
Je ne sais pas vraiment ce qui m'a attiré à aimer les couteaux. Tout d'abord, qu'est-ce qu'un couteau?
Pour la majorité des gens, un outil tout simplement. Au même titre qu'une clé à molette ou un simple tournevis. Mais cette comparaison s'arrête là, surtout pour la plupart des gens qui ne ressentent rien au niveau de cet objet. Le couteau fait peur, souvent perçu comme mal saint. Le couteau tue, coupe, blesse et dépèce, certes, mais il en reste très utile et indispensable aux yeux de tous. Après, il y a les passionnés, ceux qui voient en cet objet de la beauté, de l'efficacité, et même de l'art. Il y a de la recherche dans la conception d'un couteau. Il a été conçu et usiné pour donner le meilleur de lui-même. Il y a une recherche énorme sur le fait de concevoir une lame. L'acier est la chose primordiale à ne pas négliger. Pour une personne qui aime les couteaux, sa forme et son utilité en feront tout autre chose qu'un simple outil.
Dans ma jeunesse, j'allais fréquemment en vacances chez des cultivateurs. Le midi, les hommes sortaient leurs couteaux, moi, je les observais, j'avais déjà envie d'avoir le mien. Il y avait un marchand ambulant qui s'arrêtait avec sa camionnette aménagée. Tous les vendredis matin, devant la ferme, il vendait toutes sortes d'objets. Des bleus de travail, des outils, de la droguerie, et bien sûr des couteaux. C'est "Pépère", le patron de la ferme qui m'acheta mon premier couteau. Que j'étais fier, je l'observais, l'ouvrais, le refermais sans cesse. Déjà, je ne voyais pas en lui un simple outil, mais bel et bien un couteau. Plus tard, dans les années 60, il y a eu l'époque du "cran d'arrêt", le nombre incalculable où j'ai dû appuyer sur ce bouton pour l'ouvrir est impossible à dire. Mais ce cran d'arrêt ne servira jamais, même pas pour couper une pomme, tellement il n'était pas pratique. En plus, ce couteau souffrait d'une très mauvaise réputation.
Il y a des d'années, je me suis arrêté devant un stand de couteaux dans un marché. Des couteaux d'une qualité médiocre, mais qui avaient un certain charme. Plus tard, j'ai acheté sur Internet un couteau d'une cinquantaine d'euros, le "CJRB Feldspar". "CJRB" est la marque low cost de " Artisan Cutlery". Une marque chinoise haut de gamme, car oui, les Chinois savent aussi réaliser de très bons couteaux. Ce couteau, je le garderai, parce que c'est le premier de ma collection. Dans cette collection, il y a des couteaux chinois, cela ne veut pas dire qu'ils sont de qualité médiocre. La Chine, depuis pas mal de temps, a su montrer au monde que ses entreprises savaient faire des couteaux de très bonnes qualités. Il y a aussi des couteaux américains, d'ailleurs, ils sont très experts en termes de couteaux tactiques.
Depuis peu, je suis revenu à mon premier amour du couteau… Le Laguiole. C'est en découvrant les couteaux d'artisans que l'on apprécie le charme du savoir-faire, le fait main. Il faut reconnaître que les couteaux industriels sont aseptisés. Pour être parfaits, oui, ils le sont, mais ils leur manquent l'essentiel, l'âme, et le fait main du coutelier.
Je décide de montrer ma collection aux amoureux de belles lames et de partager ma passion. Je suis ouvert à toute discussion. Si je peux aider à choisir sur l'achat d'un couteau, je suis là.