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Ce potin, connu au moins depuis 1837, est resté longtemps négligé.
S. Scheers remarque qu’il n’a pas été signalé à Bourges, ni à Levroux (sites bituriges) et propose de l’assimiler à “un numéraire local de la frontière carnute-biturige”. Elle interprète le revers comme étant un cheval se retournant. Laurent Schmitt y voit plutôt une sorte de reptile vu du dessus. Dans le Nouvel Atlas, il s’agit de la série 628 “à l’équidé anguipède”. Toutes ces propositions ne sont que des hypothèses, car comme bien trop souvent sur les monnaies gauloises, on cherche absolument à tout interpréter alors même que nous avons perdu le sens de leur iconographie.
Collection : Monnaies gauloises